Pâques est-elle la fête des oeufs en chocolat et des lapins en sucre ?
Non, elle est d’abord, et depuis près de 2000 ans, la plupart des personnes savent que le dimanche de Pâques est en lien étroit avec la résurrection de Jésus, sans toutefois comprendre le rapport entre la résurrection, les œufs et le lapin de Pâques.
Le dimanche de Pâques est le jour que tous les chrétiens célèbrent la résurrection de Jésus et on commence le temps pascale jusqu’à la Pentecôte. Le Cierge Pascal est allumé et présent dans le Chœur. Durant plusieurs semaine, il n’y aura plus de lecture de l’Ancien Testament pour faire place à la lecture de l’Acte des Apôtre signe de la présence du Christ Ressuscité et Dieu vivant au milieu de nous. A la sortie de la messe on offrait les œufs qui étaient décoré car anciennement il était interdit d’en manger durant le jeune du Carême.
D’un point de vue biblique, la résurrection de Jésus-Christ n’a absolument rien à voir avec les traditions populaires des oeufs et des lapins tournant autour du dimanche de Pâques. En fait, ce qu’il s’est passé est que, pour rendre le christianisme plus attrayant pour les non-chrétiens, l’Église catholique a mélangé la célébration de la résurrection de Jésus avec des rites de fertilité du printemps, qui sont à l’origine des traditions des œufs et du lapin de Pâques.
La Bible raconte que Jésus est ressuscité le dimanche,
premier jour de la semaine, (Mt 28.1, Mc 16.2, 9, Lc 24.1, Jn 20.1, 19). La résurrection de Jésus mérite plus que tout d’être célébrée (voir 1 Co 15). Jésus est vraiment ressuscité des morts et sa résurrection est la preuve que nous avons vraiment la promesse d’une demeure éternelle au ciel en recevant Jésus comme notre Sauveur.
Cette image est celle du linceul de Turin : appelé aussi Saint Suaire. Ce drap est un tissu de lin de 4 mètres 36 de long pour 1 mètre 10 de large, légèrement brûlé à cause d’incendies, et qui a la particularité de présenter l’image ventrale et dorsale du corps d’un homme nu mesurant 1 mètre 81 précisément.
Les études historiennes, anatomiques, scientifiques, iconographique, paléographiques, et bien d’autres encore, démontrent qu’il s’agit de l’image du corps d’un crucifié ayant vécu un véritable supplice : visage tuméfié, blessures au front et au cuir chevelu, flagellation, crucifixion, plaie sur le côté, coulures de sang, etc. De toute l’histoire de l’art, de l’archéologie comme de la science, jamais un objet ne fut autant étudié et n’a autant passionné des savants. Et pour cause : tout concorde avec les écrits des Evangiles, confirmant même quelques certitudes… Il s’agirait ainsi très probablement de l’image de Jésus de Nazareth.
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