« Je sens en moi se faire un grand vide que ne remplisse ni l’amitié ni l’étude. J’ignore qui viendra le combler. Sera-ce Dieu, sera-ce une créature ? Si c’est une créature, je prie pour qu’elle ne se présente que quand je m’en serai rendu digne. Je prie qu’elle apporte avec elle ce qu’il faudra de charme extérieur pour qu’elle ne laisse place à aucun regret ; Mais je prie surtout qu’elle vienne avec une âme excellente, qu’elle apporte une grande vertu, qu’elle vaille beaucoup mieux que moi, qu’elle m’attire en haut, qu’elle me fasse pas descendre, qu’elle soit généreuse parce que souvent je suis pusillanime, qu’elle soit fervente parce que je suis tiède dans les choses de Dieu, qu’elle soit compatissante enfin, pour que je n’ai pas à rougir devant elle de mon infériorité. Ne m’abandonnez pas, Seigneur, faîtes que je sois aimé ; Vous le savez, ce n’est pas seulement de la douceur que je cherche dans l’Amour, c’est le mépris de toute blessure, c’est la force de combattre pour le Bien, pour le Vrai. »
pape
« Ô mère consolatrice, Toi qui connaît nos douleurs et nos peines, Toi qui a souffert de Bethléem au calvaire, Console tous ceux qui souffrent dans leurs corps et dans leur âme. Tous ceux qui sont dans la dispersion et le découragement, Tous ceux qui ressentent un ardent besoin d’aimer et de donner. O Mère consolatrice, console nous tous, Aide-nous à comprendre que le secret du bonheur est dans la fidélité et la bonté de ton fils Jésus. Nous te rendons gloire et nous t’offrons des actions de grâces maintenant et toujours, Amen. »